NANTES.
- "GLH". Les
années 70 avaient vu naître à Nantes un GLH (Groupe de Libération
Homosexuelle). Dans un premier temps, il est abrité par la Librairie
71. Avec l'arrivée de la gauche au pouvoir, les
collectivités locales de gauche commencent à subventionner certaines
associations. A Nantes, la mairie socialiste mettra un local à
disposition du GLH pour organiser sa réunion hebdomadaire : 30 rue de
la Boucherie. Le GLH de Nantes sera parmi les premières associations
homosexuelles de France à honorer la Mémoire des homosexuels déportés
durant la guerre. A partir de 1981, il fera les démarches pour
participer aux cérémonies de commémoration de la déportation mais se
verra opposer une fin de non recevoir. Il enverra un chèque pour
participer au financement de la couronne officielle mais les
associations de déportés lui retourneront son chèque. Il déposera donc
sa propre couronne au monument des victimes du nazisme sur le Cours des
50 Otages, à l'issue des cérémonies. Le ruban de la gerbe sera arraché
par des mains anonymes. En 1983, la
mairie est gagnée par le RPR. De nombreux lieux associatifs perdent
leur subvention, comme la Maison de la Culture ou la Maison des Femmes
qui va disparaître.
LE GLH cessera ses activités peu de
temps après.
::
RADIOS NANTES
- Radio Atlantic (97 Mhz) : Le GLH présente "Emission Rose" une
émission pour les gays un samedi sur deux de 18h à 19h. (1981 - 1982 -
1983 - 1984). Une émission 100 % lesbienne "Coup de Foudre", a
lieu sur la même antenne, le premier samedi du mois.
- Loire FM : Une émission a été diffusée durant quelques
semaines
en 1983 : "Popperisez
moi Benoît", présentée par Pascal et Dominique le
samedi soir.
ANGERS
- Radio Gribouille (95,15 Mhz) : "Une
maille à l'envers" un
jeudi sur 2 de 22h à 24h : des infos, des feuilletons, des petites
annonces, des chroniques d'humour, de la musique... (1983 - 1984)
- Radio Gribouille (95,15 Mhz) : "Paroles
Homosexuelles" (1984)
::
JOURNAUX
Le journal publié par le GLH de Nantes jusqu'en 1982 s'appelle "Accroche-C½ur".
- "Groupe
de Lesbiennes".
52 rue Marchix. Réunions les premiers et troisièmes mardis du mois.
- "Homosaïque",
30 rue de la Boucherie, va succéder au GLH. Une réunion est organisée
chaque premier vendredi du mois à 20h30. A la fermeture du local de la
rue de la Boucherie, Homosaïque déménagera en 1988 au 42 rue
des
Hauts-Pavés. La permanence d'accueil sera alors assurée les mardis
soirs de 18h30 à 19h30.
- "David
et Jonathan",
les homosexuels chrétiens ont une permanence à Nantes.
- "Homophone"
:
Permanence téléphonique le vendredi de 18h à 22h et répondeur 24h/24
régi par une association 1901 à Rezé, au Centre Social du Château. Ce
service est créé en 1985.
- "Les Gays Randonneurs
Nantais"
: Comme à Paris, Nantes bénéficie à la fin des années 80 d'une
association de randonnée qui organise des sorties pour les homosexuels.
- "Le C.H.I.A.L.A"
(Collectif Homosexuel d'Aide et d'information de Loire Atlantique)
: En 1988, les quatre associations rescapées de Nantes décident de se
regrouper au sein d'un collectif. Tout en restant autonomes sur leur
créneau, David et Jonathan, Les Gays Randonneurs Nantais, Homophone et
Homosaïque créent le CHIALA. Ce collectif permettra de proposer un
interlocuteur unique face aux collectivités publiques. Sa première
action sera de dénoncer les thèses du Front National lors d'une visite
de Jean-Marie Le Pen à Nantes.
- SOS Infos Gaies
: ligne téléphonique d'entraide
- HIRAM : Groupe Mixte
Franc-maçon homosexuel.
ANGERS.
- Le "GLH" (Groupe
de Libération Homosexuelle) : A début des années 80 le GLH fera preuve
d'une belle vigueur. Il se réunit chaque samedi de 16h à 18h. Une fois
par mois, il organise des fêtes qui rassemblent à chaque fois
environ
120 personnes
au Centre d'Animation de la Doutre, place Grégoire Bordillon. Son
siège est abrité à la Librairie marginale "la Tête
en Bas" avant d'être dans son propre local, rue Cornet. Mais début 1985
il décide de se dissoudre pour ne pas se transformer uniquement en
groupe de loisirs. D'autres associations vont lui succéder :
- "Paroles"
: Loisirs, rencontres, infos. Ce groupe fondé par d'anciens militants
du GLH souhaitant se démarquer de l'orientation politique du GLH, se
réunira une fois par semaine dans les locaux de ce dernier. Mais à leur
fermeture, "Paroles" s'envolera lui aussi définitivement.
- "Gais
Nageurs" qui se réunissent à la Piscine.
- "David
et Jonathan" : l'antenne du département se situe à
Chateauneuf sur Sarthe. Elle a été créée en 1981.
- "Fil Rose" :
Ecoute
téléphonique mixte et anonyme. Ce service associatif est lancé fin 83.
Il ne fonctionne que le mardi et le samedi de 19h à 23h.
- "Au Sens Large".
A la fin des années 80, cette association lesbienne non mixte organise
des sorties pour les filles.
CHOLET.
- "FIH
(Fraternité Internationale d'Homophiles)", Les
Richardières, Bat B2 n°223. Cette association se veut être un Centre
d'Entraide pour les minorités sexuelles.
LE MANS.
- "David
& Jonathan".
- Le "GAISS" (Groupe
Homosexuel d'Action et d'Information Sarthois) :
Association
créée en septembre 1981. Elle se réunit tous les mardis de 10h à 20h au
20 rue d'Iena. En 1983, la communauté urbaine mettra à sa
disposition un local au 15 rue des Maillets où elle assurera un accueil
tous les samedis de 16h à 18h30 pour les gays et les lesbiennes.
LA
ROCHE-SUR-YON.
- "Gay'Titude 85" :
Amateurs de Voitures anciennes. c/o ATAC, 4 place Albert 1er, La
Roche-sur-Yon.
- "Groupe Lesbien" : c/o GYF
Maison des Associations, place Albert Premier.
A NANTES
LES BARS
- Melody Maker
10 rue Adolphe
Moitié
- Le Memphis
3 rue du Général de Torquat
LES DISCOTHEQUES
- Le Don Quichotte
5 rue
Jean-Jacques Rousseau
- La Galerie
9 rue Franklin
- Le David Bar
3 rue Léon
Maîstre
- L'Interdit
14 rue Menou
- L'Ambigu
route de Saint
Sébastien
- Le Différent
8 route de
Rennes
- L'ère du Temps
rue du Pont
Sauvetout
(Tour de Bretagne)
- L'Opium
route de
Vannes - St Etienne de Montluc
- Le Van Cleef
Parc de la
Beaujoire
- Le Temps d'Aimer
14 rue
Alexandre Fourny
RESTAURANTS
-
L'Oncle Sam
4 cours
Olivier de Clisson
- Le Panier à Salade
80 rue
Maréchal Joffre
- Le Molière
place Graslin
- Le Restaurant du Château
rue du Château
LES ASSOCIATIONS
- GLH de Nantes
Librairie 71,
29 rue Jean-Jaurès
puis : 30 rue de la Boucherie.
- Homosaïque
30 rue de la
Boucherie
puis : 42 rue des Hauts Pavés.
- David & Jonathan
- Groupe de Lesbiennes
Maison des
Femmes.
52 rue Marchix
puis 1 rue Madame Curie - Rezé
- Homophone
Centre social du Château
Allée de Provence - Rezé
- Les Gays
Randonneurs Nantais
46 A, bd du Val de Chézine
Saint Herblain
- C.H.I.A.L.A.
(Collectif Homosexuel d'Aide
et d'Information de Loire Atlantique)
- SOS Infos Gaies
::
LES LIEUX DES ANNEES 80 A NANTES.
LES BARS -
LES
DISCOTHEQUES.
La vie nocturne qui s'était réveillée à Nantes à la fin des années 70
va poursuivre sa mutation. Le "Don
Quichotte"
et "la Galerie"
sont en perte de vitesse au début des années 80. Le "David Bar", la
petite boite la plus populaire de la ville, va tenter de devenir un
établissement plus viril en ouvrant une back-room, en affichant une
orientation cuir et poppers, mais la clientèle nantaise ne suivra pas.
Rien que le fait de mettre l'expression "bar homo" sur la porte fait
déjà
fuir la clientèle qui veut bien fréquenter ces endroits, à condition
qu'il leur reste encore l'alibi d'y être entré par hasard. C'est
souvent le cas des boites gay de cette époque en province et pas
seulement à Nantes. Le "David Bar" fermera à son tour et sera remplacé
par un bar d'hôtesses. Mais d'autres vont prendre le relais.
Au début des années 80, il y aura de nombreuses ouvertures de
bars et de
boites homos à Nantes mais très peu dépasseront le cap de quelques
années d'existence. "Le
Memphis"
est un bar américain au décor feutré qui expose des tableaux venus des
States, une musique plutôt en sourdine. Sa clientèle est sélectionnée
et doit avoir une carte de membre pour pouvoir entrer. "Le Memphis"
propose de temps en temps un spectacle de travestis burlesques. La
discothèque "Le
Différent", 8 route de Rennes au Pont de de
Cens, la discothèque "L'Ambigu",
route de Saint Sébastien, ne survivront que quelques années.
"L'Ambigu" ouvre en novembre 1981 et fait l'objet, dès le début, de
tracasseries administratives. La mairie de Saint Sébastien lui impose
de coûteux travaux de mise en conformité alors que la boite existait
déjà depuis longtemps avec une clientèle hétéro. Une fois les travaux
terminés, suivront des descentes de police régulières puis une
interdiction d'ouverture au delà de 2 heures du matin, ce qui signe
définitivement l'arrêt de mort de la boite. L'Ambigu fermera
définitivement ses portes en avril 82. Un bar mixte où les lesbiennes
sont
nombreuses connaît beaucoup de succès : "l'Interdit", 14 rue
Menou. Le bar "le Melody
Maker", 19 rue Adolphe Moitié, va rester à l'affiche des
nuits gay durant quelques années. Quant à notre homme des nuits
nantaises, Philippe Michel (cf années
70), après "l'Ere du Temps",
il ouvre "l'Opium"
route de Vannes, et en 1984 une grande discothèque au parc de la
Beaujoire, "le Van Cleef".
La boite, majoritairement gay en semaine, aussi ouverte aux hétéros le
week-end, privilégie le mélange, un peu à l'image du Palace à Paris.
Puis ce sera "Le Temps
d'Aimer" (on reste toujours dans les parfums) qu'il va
ouvrir cette fois pour de très nombreuses années dans la rue Alexandre
Fourny.
LES
RESTAURANTS.
Quelques restaurants ont la préférence des gays dans les années 80 à
Nantes : "l'Oncle Sam",
4 cours Olivier de Clisson, "le
Panier à Salade", 80 rue Maréchal Joffre, "Le Molière" sur la
place Graslin qui réserve la partie gauche aux homos et "le Restaurant du Château",
rue du Château où se retrouve fréquemment le GLH.
LES
SAUNAS.
Au début des années 80, "l'Institut de Strasbourg", 11 cours F.
Roosevelt est un sauna mixte qui offre des occasion.
LES
LIEUX DE RENCONTRE EN
EXTERIEUR.
La place Louis XVI permet la drague en voiture côté parking et à pied
côté du cours St Pierre ou du cours St André. Un peu plus loin, on
descend au square Elisa Mercoeur (le Baco) fréquenté dès l'après-midi
mais aussi le soir avec ses buissons accueillants. Moins fréquentés, le
jardin des plantes et le parc de Procé permettent parfois de bonnes
surprises. Au centre commercial de Beaulieu (Carrefour, ex-Casino), les
nocturnes y favorisent les rencontres. Il reste encore, dans les années
80, quelques pissotières
pour les nostalgiques de ces endroits : Place Louis XVI, devant l'église
Saint Nicolas, en sous-sol du Champ de Mars, sur le square le long de la rue Sully ou rue Harouys.
DIVERS.
Une agence de rencontres exclusivement gay va ouvrir à Nantes. : "ANDROfil".
Elle n'a pas pignon sur rue et les contacts ne se font que par courrier.
Le Square Elisa Mercoeur (Baco)
Nantes. La pissotière de la rue Harouys, avant qu'elle ne soit murée.
AU MANS
LES BARS
- Le Café Crème
46 rue des
Ponts neufs
LES DISCOTHEQUES
- Le Darling
47 rue de
l'Union
RESTAURANTS
-
La Belle Etoile
route d'Angers
- Guecélard
LES
SAUNAS
- Le Scandina
boulevard
Winston Churchill
LES ASSOCIATIONS
- David & Jonathan
::
LES LIEUX DES ANNEES 80 AU MANS Dès
le début des années 80, "le
Darling", 47 rue de l'Union est la boîte
gay de la ville. Un bar très accueillant accueille aussi les homos au
milieu des années 80 :
"Le Café Crème",
46 rue des Ponts Neufs. "L'Adresse",
1 rue des Remparts, est le bar restau préféré des lesbiennes. Un
restaurant gay friendly, "La
Belle Etoile",
route d'Angers, à 17 km du centre-ville et un sauna mixte mais où les
rencontres sont possible, "Le
Scandina",
boulevard Winston Churchill, complètent le parcours des
établissements
gay
de la ville.
Les rencontres se déroulent au jardin de
Tesse, à l'Esplanade des Jacobins et aux toilettes de la place de
Pontlieue, de la place de la gare et sous le théâtre.
A ANGERS
LES BARS
- Le Métro
6 rue
Boisnet
- L'Equateur
4 rue des 2
halles
- Le Biarritz
10 rue de la
Gare
LES DISCOTHEQUES
- L'Escapade
4 place du
champ de Foire
- Doué la Fontaine
-
La Chevalerie
route de Laval
LES CINEMAS
- Le Français
rue d'Anjou
LES
ASSOCIATIONS
- GLH
c/o Librairie La tête en Bas
17 rue des Poêliers
puis :
31 rue Cornet
- Paroles
31 rue Cornet
-
Gais Nageurs
- David & Jonathan
Chateauneuf sur Sarthe
- Au Sens Large
- Le Fil Rose
c/o MFPF 35 rue Saint Exupéry
::
LES LIEUX DES ANNEES 80 A ANGERS.
Au
début des
années 80, il n'y a plus d'établissement gay à Angers puis la vie
nocturne va se réveiller au milieu des années 80 avec un bar qui fait
son apparition en 1983 au 6 rue Boisnet, "le
Métro".
Ce bar est gay et
masculin. Deux autres bars vont aussi être assez fréquentés par les
gays, même s'ils ne sont pas exclusifs : "L'Equateur", rue
des deux Halles, avec une ambiance
plutôt rock, et "le
Biarritz", rue de la gare.
Au niveau des discothèques, il faut sortir de la ville pour s'amuser.
Ouverte en mai 87, "L'Escapade"
à Doué-la-Fontaine, est la boite gay de la région. "La Chevalerie" route
de Laval, à La Membrolle-sur-Longuenée, organise 4 grandes fêtes homos
par an en collaboration avec l'association "Paroles".
Durant quelque temps, il y aura même un cinéma porno homo à Angers : "le Français" proposera une petite
salle spécialisée dans les films homos.
Les lesbiennes ont peu d'endroit de rencontre à Angers dans les années
80. Si elle fréquentent quelques endroits mixtes, le seul lieu où elles
peuvent se retrouver entre femmes est la cafétéria tenue par "les
Danaïdes", 3 rue Cornet, collectif de femmes pas exclusivement
lesbiennes. Le GLH leur est également ouvert. A la fin des années 80,
elles s'organisent et l'association non mixte "Au Sens Large" leur
offre des sorties-rencontres.
Les lieux de drague en extérieur sont : la
Promenade du bout
du Monde au Château, le jardin des Plantes, la gare, le jardin du Mail,
les toilettes à côté de la cathédrale, de la place de la Rochefoucault.
::
LES LIEUX DES ANNEES 80 DANS LE RESTE DE LA REGION. LOIRE
ATLANTIQUE (44)
Les Nantais ont leur plage du week-end : la Baule. Comme à Nantes, le
restaurant gay-friendly s'appelle "l'Oncle
Sam", 15 boulevard Hennekard. Au début des années 80, le "New Club",
10 avenue Pavie, est une discothèque où les gays sont les bienvenus. On
drague à la Baule au parc des Dryades, derrière la gare, mais aussi au
"Bois d'Amour", belle Pinède à l'Est de la ville.
A
Saint-Nazaire, la ville n'a pas la réputation d'être très gay mais on
se rencontre derrière l'hôtel de Ville. La MJC organisera en 1989 un
cycle cinématographique intitulé "Différences" : projection de films
homos à la salle Jacques Tati.
Les plages du département :
- Plage de la Baule entre Pen Brun et la Turballe.
- Plage des criques de Prefailles, à la Plaine-sur-Mer
- Plage du Cirque de Chemoulin, Saint-Nazaire.
MAINE
ET LOIRE (49)
A Cholet, on drague à la gare
SNCF ou au
Jardin du Mail.
A Saumur, "le Baldaquin", 9
quai du Roi René, est la discothèque gaie de la ville.
La discothèque "Le
Daymont", Les Perrières, Le Vaudelnay, ouvre à la fin des
années 80.
MAYENNE
(53)
A Laval, il n'existe pas d'établissement gay, mais un club hétéro
organise de temps en temps à partir de 1988 des soirées pour les
garçons : "Le Club Les
Arcades" à Bourg de Saint Germain le Fouilloux.
SARTHE
(72)
Le Lude et ses jardins du Château permettent des rencontres.
VENDEE
(85)
La Roche sur Yon a une discothèque gay et lesbienne depuis 1982 à
quelques km du centre au lieu dit "Les Loges" à Landeronde : "Le Damier".
La boite changera de propriétaire en 1988 mais restera fidèle à sa
clientèle gay. En revanche, elle n'ouvrira plus que les vendredis,
samedis, dimanches. Sinon, en ville, la drague s'est organisée place de
la Vendée, cours Bayard ou à la gare.
A Fontenay-le-Comte, les lieux de drague sont : la place Baron, la
place Viete, la place du champ de foire (derrière la poste) et les WC
de la poste ou de la place du Dauphin. Un club
situé à 15 km, à Nalliers, accueille les gays et les lesbiennes : "Le Guepard".
A Jard-sur-Mer, "L'Atlantic" fait
bar, restaurant et discothèque.
Aux Sables-d'Olonne, on drague près du Marché Arago, place du Gaz et
sur le Remblai, place Navarin.
La grande discothèque "Le
Prosper Club",
11 avenue de la Mer, à Saint Jean de Monts, n'est pas une boite gay
mais propose de temps en temps des spectacles de travestis.
Noirmoutier n'est pas une île déserte puisqu'on peut partager une galette à
la crêperie "Le Blé Noir",
14 place Saint Louis.
A Saint Gilles Croix de Vie, les rencontres se font sur le pont Jaunay
ou à la plage du Petit Pont.
A Luçon, tout se passe au WC devant la cathédrale, place du général Leclerc.
Plages :
- Plage des Lays à La Barre de Monts. Naturisme. - Plage de Sauveterre aux Sables d'Olonne. Naturisme sur la plage et drague intense, souvent chaude, dans la forêt à l'arrière.
- Plage de Luzeronde à Noirmoutier.
- Merlin-Plage à Saint Jean-de-Monts
- Plage Conches à la Tranche-sur-Mer.
- Plage de la Pointe d'Arçay à la Faute-sur-Mer. : Belle et grande
plage naturiste, prolongée à l'arrière par une forêt où on peut
observer et attraper des oiseaux de toutes tailles...
Plage de la Pointe d'Arçay
Luçon, WC devant la cathédrale
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